Porcherie 

 

Texte Pier Paolo Pasolini – Mise en scène Nina Blanc – Avec Arthur Marbaix, Ophélie Honoré, Aurélien Dubreuil-Lachaud, Marcel Delval, Bernard Sens, Christian BlancArnaud Botman et la participation de Laura Krenzke, Louison Lambrechts, Sabine De Creeft, Mireille Lymberis, Davidia Mathieu, Camille Fontenier, Henry-Samuel Pirotte, et Gigi Van Puyvelde – Assistante à la mise en scène Anna Solomin – Scénographie Boris Dambly – Assistante à la scénogrphie – Suzanna Bauer – Lumières Iris Julienne – Son Valentin Mazingarbe – Costumes Julia Huet Alberola – Stagiaire costumes Solène Valentin – Peinture Laurent Liber – Effet spécial  Vincent Reutten

Porcherie est une pièce à plusieurs visages. À la croisée d’une pièce de boulevard grotesque, d’une intrigue policière et d’une tragédie antique, elle est avant tout un hymne à la complexité, à la pluralité de l’être, au refus de la normalisation. Peut-on échapper (sans s’annuler soi-même) à ce qui nous détermine profondément ? Comment négocie-t-on avec notre héritage familial, social et culturel dans notre quête de liberté et de bonheur ? Comment vivre différemment et inventer de nouvelles formes culturelles et sociales, sans commettre les mêmes erreurs que nos « pères » ? Le parcours de Julian dans l’Allemagne des années 60 résonne encore aujourd’hui avec celui de la génération de Nina Blanc, metteure en scène : une génération qui serait désillusionnée, ne cherchant ni à construire, ni à déconstruire, qui souffrirait de ne pas se connaître…

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